Depuis cet automne, je suis abonné au Devoir. Voici une liste d'articles publiés dans le Devoir que j'ai particulièrement appréciés.

Avertissement: la présence d'un article ne signifie pas que j'approuve son contenu, mais bien que son contenu a particulièrement attiré mon attention.

M. Couillard, il faut sauver le soldat Coderre

Démonstration de l'ironie d'avoir un fédéraliste maire de Montréal ayant à défendre les intérêts du Québec devant le ROC. Tout ça devant le fiel que déverse le ROC au sujet du Québec refusant la poursuite du projet Énergie Est.

Pourquoi s’appeler encore une province?

'Le mot province vient du latin pro victis, qui signifie « territoire des vaincus ». [...] Plutôt que d’arborer le titre de province, ne serait-il pas mieux que le Québec se nomme l’État fédéré du Québec ?' Article original d'un avocat sur la notion de province et sa signification!

Éducation: déshabiller Jean pour mieux vêtir John

Article démontrant en chiffre que l'effectif des universités anglophones du Québec vont au-delà de la proportion de la population anglophone. 'Si les effectifs des institutions universitaires anglophones étaient de 11 % comme au primaire/secondaire, c’est plus d’un milliard de dollars par année qui iraient aux institutions universitaires francophones. [...] Pour qu’une langue soit en santé, elle a besoin de deux choses, soit le poids du nombre et des institutions publiques qui fonctionnent dans cette langue.'

Briser le dogme du multiculturalisme

Un texte tout simplement très éclairant au sujet de la cohabitation en société, le multiculturalisme et ses conséquences.

«Back to Bay Street»

'Le Canada de Justin Trudeau est le même que celui de Jean Chrétien et de Trudeau père : un pays de cohabitation entre gens de cultures différentes unis par un même code criminel, une loi des langues officielles et une autre de la santé, un chemin de fer, une route et un pipeline, le tout dirigé de l’Ontario grâce à la compétence génétiquement acquise de l’establishment anglo-saxon installé confortablement dans sa nouvelle métropole, Toronto.'

En français

Tout simplement: 'La réalité à laquelle les ministres francophones du gouvernement fédéral se heurtent est qu’en dépit de la Loi sur les langues officielles, la langue de travail et la langue du pouvoir est l’anglais à Ottawa. Un fonctionnaire unilingue français ne pourra progresser très loin dans l’appareil gouvernemental, au contraire d’un fonctionnaire unilingue anglais. Malgré qu’il existe des unités de travail en français dans certains ministères, la vie se déroule en anglais. Il en est de même pour les députés et les ministres'

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